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– créé le à 22h07 – La rédaction × Photos – deux mannequins s’affichent sans culotte à la Mostra de Venise Dans la même catégorie Les mannequins Giulia Salemi et Dayane Mello ont créé la sensation sur le tapis rouge de la Mostra de Venise en portant des robes qui laissaient ’tout’ apparaitre ou presque. Lors de la présentation du film ’The Young Pope’ avec Jude Law, le mannequin Italien Giulia Salemi était habillée d’une longue robe très fendue, laissant apparaître sa … jambe. Idem pour le modèle Brésilien Dayane Mello. Les deux jeunes femmes n’ont pas réellement fait l’unanimité sur le tapis rouge, certains pensant qu’elles étaient trop vulgaires. Selon Figaro, les deux amazones n’ont pas enfilé ces tenues pour créer le buzz, mais pour soutenir un ami styliste, Matteo Evandro Manzini. Giulia Salemi explique sur Instagram "Je suis venue à Venise pour soutenir mon ami designer en portant une de ses créations sur le tapis rouge". Vos avis ? Voir notre dossier mode sur
Je dois une fière chandelle à ma belle-mère. Peut-être a-t-elle sauvé mon ménage. C'eût été trop triste que tout cela fut soldé par un divorce et fracassât l'enfance de mes deux gosses innocents. J'ai à ce jour atteint aux vingt ans de mariage et cela m'a fait drôle d'aller visiter hier cette vieille dame avec ma femme dans sa maison de retraite, J'avais un peu le rouge de la honte au front. Il n'est pas sûr qu'en ses souvenirs cette personne eut pu communier avec les miens. D'aucuns trouveront scandaleux que j'ai pu coucher avec ma belle-mère. Les autres se moqueront du goût invétéré que j'eus pour ce beau morceau si plantureux alors. A l'époque rien ne me prédestinait à une pareille liaison. J'avais une prédilection plutôt pour la nymphette. Ma femme était en l’occurrence gracile et blonde ce à quoi s'opposait sa mère brune et charnue. De ce paradoxe vivant nous avions ri souvent en famille. La mère et la fille à cet égard s'étaient toujours détestées. Aujourd'hui je rentre mieux dans les raisons profondes de ce dissensus. Ma belle-mère avait généreusement cocufié le papa de ma femme ce dont celle-ci lui faisait un grief légitime. A plus de cinquante ans et grand-mère deux fois celle-ci ne semblait pas vouloir renoncer à ses vices. L'âge aggravant les vertus et les vices. D'abord cela commença par du jeu. Au jour du mariage elle me conta qu'elle me trouvait à son goût. Je savais de sa fille qu'un de ces derniers amants avait été un jeune footballeur de 23 ans. Elle ne cachait pas que la vigueur et le coup de rein étaient des critères premiers. Elle percevait sa fille comme peu vaillante et renâclant au lit, Les poupées de porcelaine disait-elle en riant ne réchauffent guère une couche. En ce temps j'étais assez amoureux et encore sous le charme subtil de ma poupée. Je cédais à l'amour propre que d'avoir épousé la plus jolie fille du pays, L'envie des autres suffisait à mon bonheur. Je ne trouvais pas un inconvénient d'être frustré au pieu. Tout commença à se gâter dès le premier enfant. On eût dit que ma belle n'attendait que cela pour justifier ses grèves réitérées au plumard. La belle-mère surpris un soir notre dispute sur le sujet, Cela validait ses intuitions, Elle affecta de prendre le parti de sa fille et me conseilla de m'armer de patience et d'indulgence. Elle m'abjura de ne pas imiter d'autres sagouins en allant voir ailleurs. Elle m'invitait à taper plutôt le ballon et d'y soulager mon feu et ma libido. Elle déblatérât cela sur un ton presque ironique et qui semblait alléguer du contraire. Elle rajouta que si j'avais voulu une femme plus cochonne il eût fallu choisir une autre que sa fille. Je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même. Le sexe en ce temps me montait à la tête, J'avais la plus belle femme du monde et en était réduit à la branlette tel un vulgaire ado. Pendant ce temps-là je percevais que la belle-mère sur ce plan était des plus épanouies. Je ne sais si ce fut le fait du hasard. Un samedi après-midi tandis que le beau père et ma femme étaient aux magasins, je somnolais dans ma chambre attendant 17H00 où j'avais rendez-vous pour une partie de tennis. J'entendais la télé au loin. Je savais ma belle-mère férue de feuilletons idiots, Elle avait décliné pour cela de suivre les deux autres. Peut-être avait-elle cru que j'étais de l'équipée et qu’elle était seule. Ainsi entendis-je une voix qui ne venait point de la télé. Je me levais du coup et me glissais dans un angle du couloir pour voir. Un type montait l'escalier en haut duquel l'attendait la garce. Je sursautais car celle-ci était en nuisette à pareille heure. Je ne l’avais jamais vu en pareille tenue. On voyait à travers, Elle avait moult graisse et un cul énorme et des nichons qui pendaient. Quel tas me dis-je ! Comment pouvait-on sauter cela ? Le type manifestement était venu pour cela. C'était un môme gringalet que je n'avais jamais vu. Je lui donnais à peine vingt ans. Elle lui en rendait trente et faisait deux fois son poids au moins. C'était bonnement grotesque. Je fus tenté de m'éclipser et de les laisser. Cela ne me regardait pas. Ainsi-crus-je devoir me rallonger et de retrouver le sommeil. Je tenais à faire bonne figure au tennis. A côté on avait éteint la télé, S'y succéda une autre musique, D’abord ce ne fut que gémissements puis quasi hurlements. Ce n'était pas raisonnable d'autant que si quelqu'un venait dont mon beau père ou ma femme cela ne laisserait nulle équivoque. Le procédé était véritablement scandaleux. Non content d'être sautée cette salope exprimait fort sa jouissance. J'en vins malgré moi à me lever, à sortir dans la couloir et à approcher du lieu-dit du coït. J'étais fasciné d'approcher et d'examiner le phénomène, La porte comme à escient était entrouverte. On voyait tout. Dessus le lit le type était juché sur le cul et un ventre énorme et besognait. Je dus rester dix bonnes minutes à apprécier l'exploit. Quel fabuleux coup de queue dont je fus jaloux. Il était inconcevable que j'enfonce ainsi le cul de ma tendre épouse. J'étais voué à des caresses et une étreinte élégante avec elle m’abstenant d'exhaler ma jouissance avec trop d'ostentation. L'on me bridait dans ce ménage. J'avais droit là à de la corrida. La mise à mort était indubitable. Et le toréador assuré d'être acclamé. En un instant je mesurais la misère de ma situation. Mon épouse ne m'accorderait jamais pareil défoulement. Je serais sans cesse condamné à ronger mon frein. L'adultère n'étant plus qu'une issue fatale. Le jeune enfin tendu tel un arc signala son orgasme, Renversé sur le dos la chienne le suça. A présent dans la chambre, j'affectais de somnoler ma tête emplie de visions. A la montre 16h15, il était temps de réunir mes affaires et de partir. Peut-être fis-je un peu de bruit car je vis à ce moment, la tête de la belle-mère passer la porte. Elle souriait Tu faisais la sieste ? La télé j'espère ne t'a pas trop dérangé ? » Il était manifeste qu’elle se foutait de moi. Interloqué de tant d'audace je me demeurais hagard, l’œil fixe. Perplexe il était envisageable que tout cela fut tramé et qu'elle voulut me donner par là un échantillon de son talent. Préméditation ou pas elle avait réussi à me plonger en une profonde confusion. Je pris ma raclée au tennis. Dans la voiture j'eus une coupable érection songeant à ce gros cul défoncé. La garce m'avait mordu. Au cours du dîner je tins à fuir ses regards où je lisais trop d'ironie. Vit-elle que ceux-ci étaient différents et portaient maintenant sur ses seins, ses cuisses et ses fesses. Un instant débarrassant la table elle s'appuya tout contre moi. Puis peu après affectant un faux mouvement se rattrapa à épaule. Je perçus la chaleur et la sensualité de sa chair et mon corps fut comme parcouru d'une onde longue et électrique. Ses yeux brillaient maintenant de triomphe. Elle me savait maintenant de ses amants. La nuit couché le long du corps inerte de ma femme, je me branlais. J'eus voulu être à la place du beau-père pour besogner cet autre corps. Le démon avait pris les commandes de ma volonté. Il me tardait de saisir une occasion. En ce dimanche matin je regardais avec le beau-père l'émission de foot. Dans la perspective de mon regard j'admirais la belle-mère assise dans sa cuisine et qui la robe relevée se caressait les cuisses et jouaient dessous la chaise avec de lourds pieds sensuels et cochons. Ce spectacle était offert à dessein comme pour m’appâter. Elle n'avait de cesse que ma queue durcit et fit une bosse dans mon pantalon. Elle fit un tour dans le salon peut-être pour vérifier l’effet des charmes. Penaud la regardant je rougis et mis ma main devant mon sexe. J'étais furieux et avait l'idée de me venger bientôt sur elle. L'après-midi il était convenu d'aller chiner dans une brocante. Je ne sais comment cela se fit au bout d'une heure je me brouillais avec ma femme. D'autorité la belle-mère en riant signifia qu'il fallait nous séparer en deux groupes. Son mari avec ma femme puis le marmot et elle me prenant par le bras. Avec une once de perversité elle crut devoir rajouter à l'adresse de sa fille Méchante pie je t'enlève ton mari. Tu ne le mérites pas. » Ma femme tout à son énervement n'eut nul soupçon de ce qui allait suivre. Déambulant un moment entre les échoppes nous tournâmes soudain. Nous étions à la voiture. Là j'y fus tiré par la main. Nos bouches s’accolèrent. Manifestement elle avait davantage envie de moi que le contraire. Ma main enfin pelotait ces formes et ces graisses. Je fus d'emblée envahie, subjugué. Je compris pourquoi elle subjuguait ces amants. Tel un petit enfant on était parvenu à aborder au paradis ancien et perdu des sensations. Le terme de sexe étant ici petit et injurieux. La garce n'avait cure des gens qui passaient entre les voitures et rouspétaient qu'on fit des cochonneries sans considération des enfants. La garce en effet avait entrepris de me sucer. Ce fut jusqu'au dernier jus. Elle avala le sperme sans broncher. Ma main au fond de sa culotte était entrée fouillant sa chatte. Pour la première fois je découvris dans son regard une nouvelle femme dont je n'avais jamais perçu toute la beauté. J’étais du coup devenu comme un amant jaloux. Je trouvais inconcevable qu'elle put se donner à d'autres que moi. Elle perçut en un instant ma puérile revendication et m'en plaisanta. Elle me rappela que nous n’étions point mariés et que je n'avais nul droit sur elle. Il me tardait de pouvoir la posséder enfin toute entière. Cela fut fait peu après. Elle voulut que je la baise dans son lit là où ronflait au quotidien le mari. Je trouvais insupportable d'avoir la photo de celui-ci sous le nez tandis que je sodomisais sa femme. Ce jour-là je m'en souviens on avait mis fort la télé pour que ma femme en bas dans le salon ne nous entendit. Ce fut une lutte, J'avais à cœur de faire mieux que le jeune homme. Son coup de rein avait été impressionnant. Plus âgé je pouvais me targuer d’un non moindre vitalité. Je voulais devenir l'amant attitré. Celui-ci dont elle ne voudrait se passer. Je réussis en partie. J'y appris la perversité. Quelle volupté de voler un baiser, une caresse et d'être sucé quasi au su de tout le monde. Elle n'épargnait aucune minauderie et à dessein souvent écartait ses cuisses afin que je vis l'absence de culotte. Le mouchoir chu je m'en délectais sous la table. Ma femme eut le second gosse peu de temps après. Il était illusoire que nous baisâmes comme au premier temps. Ma femme me crut une maîtresse au travail. Je tâchais à peine de la démentir afin de cacher ma liaison avec sa mère. Nos engueulades en devinrent comme supportables. D'une certaine je n'en aimais pas moins ma femme fier qu'elle m'eût donné deux adorables enfants et les élevât parfaitement. Pour le sexe j’avais à demeure une garce. Mon plus gros souci est que d'autres types parvenaient des fois à la baiser. Elle avait le feu au cul. Piètre pompier je ne parvenais avec ma seule pompe à éteindre ses incendies. J'étais en cette maison devenu le coq. J'avais deux couches où tour à tour je m'escrimais, Sans conteste je laissais en l'une plus de force et de semence. Cette époque m'a affermi. Mon ménage en a été préservé. Grâce en soit rendue à une vielle dame.
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